ghent-altarpiece

Nous avons tous déjà été anxieux. Ce sentiment d’anxiété est synonyme de chaos, d’hypervigilance, de confusion, de paralysie, de peur, et de stress par exemple. L’anxiété surgit lorsque notre esprit est divisé. Nous sommes anxieux lorsque nous perfons notre direction, notre vision. Une vision ténébreuse nous mène dans les ténèbres. Dans cet article, nous allons voir comment surmonter l’anxiété en s’unifiant.

L’appel du divin

Il y a quelques mois, j’ai visité l’église de Gent dans laquelle se trouve la peinture de l’agneau mystique. Au-dessus de cette peinture se trouve une peinture représentant le tout puissant. La peinture est surélevée et donne l’impression d’un regard perçant, aimant, compatissant et jugeant à la fois. En la regardant avec attention, je me suis senti comme appelé par celle si, appelé à prendre le chemin ascendant pour marcher vers Dieu. J’étais appelé par sa main droite me guidant et repoussé par sa main gauche, me jugeant, me disant que mon potentiel est illimité et que je si je le désire vraiment, je pourrais devenir quelqu’un de meilleur. C’est un amour me disant « Je t’aime malgré tes imperfections, mais si tu t’orientes correctement, tu pourrais être meilleur que tu ne l’es aujourd’hui ». Je regardais cette peinture empli d’humilité.

Cet appel du divin est une vision de notre idéal, de la personne que nous pourrions devenir si nous prenions la responsabilité d’être honnête en action et en parole avec nous-mêmes.

ghent-altarpiece

Répondre à l’appel du divin

Lorsque nous recevons cet appel du divin, cet appel à l’intérieur de nous, nous le savons. Nous pouvons décider de l’ignorer et finir dans le ventre du monstre marin comme Jonas ou de l’écouter en prenant nos responsabilités pour suivre ce chemin ascendant.

Jonas et la baleine

Nous avons une responsabilité de transformation, de transformer le chaos en ordre, de transformer l’inconnu en connu, de transformer le potentiel en réalité. C’est ce que fait Dieu dans la Genèse « Que la lumière soit et la lumière fut. ». Le sens de notre vie surgit lorsque nous décidons d’être vrai avec nous-mêmes et de prendre ce chemin vers le divin. « La vérité fera de vous des hommes libres » Jean 8:32. Chaque individu à quelque chose de divin en lui, l’appelant à se réaliser et suivre cet appel c’est être vrai avec soi-même et vivre SA vie.

Répondre à l’appel du divin est nécessaire pour vivre, car lorsque nous y répondons et décidons de suivre une direction, nous ressentons des émotions positives (sécrétion de dopamine). Nous le faisons-nous quotidiennement à différentes échelles. Même aller à la boulangerie pour acheter du pain est une direction avec un objectif. Cependant, c’est un objectif micro. Le sens de notre vie se cache à la prise d’une direction macro, méta pour laquelle nous serions prêt à sacrifier le présent pour le futur. Plus le chemin est ascendant, plus les émotions ressenties seront fortes. Lorsque nous sommes perdu, définir un endroit où aller (même si ce n’est pas clair et qu’il va probablement changer) est la meilleure solution pour retrouver du sens à ce que nous faisons.

Ce que le divin veut de nous

Il ne faut pas se demander ce que le divin peut faire pour nous, mais plutôt « Qu’est-ce que le divin veut de moi ». Il faut se poser vraiment cette question et vouloir y répondre avec honnêteté. C’est une question difficile, car cette question pourrait aussi vouloir dire « quel est le sens de ma vie ? ». Peut-être que se poser cette question chaque matin pour pouvoir avancer chaque jour dans la bonne direction est la clé pour vivre sa vie pleinement.

« Je ne crois que ce que je vois ».

En tant qu’humain, nous aimons avoir des preuves. Nous voulons croire, mais en ayant la certitude que nous soyons correct ce qui va à l’encontre même de la croyance. Croire c’est avoir la foi même si nous n’avons pas la certitude que cela va se réaliser. C’est décider de ne pas demander un signe du divin pour croire. Lorsque le christ est dans le désert, il refuse de demander une preuve de son père, Dieu. C’est cela d’avoir la foi. C’est décider d’agir vers cet idéal sans avoir la preuve de son existence en décidant de parier que c’est le bon chemin à emprunter. Si l’arrivée était déjà connue, nous perdrions le désir d’y aller. Mais quelle est l’alternative ? Parier que le chemin ascendant est mauvais et ne vaut pas le coup d’être poursuivi ?

C’est lorsque nous croyons vraiment en ce que nous faisons que des miracles se produisent, que nous pouvons déplacer des montagnes (évangile selon St Matthieu).

Avoir la foi pour créer quelque chose de beau

Avoir la foi c’est ce que nous faisons tous en décidant d’épouser une autre personne. Nous avons foi en cette personne. Ce n’est pas une foi naïve d’enfance ou de premier amour, car nous décidons de nous ouvrir à cette personne, de lui partager nos vulnérabilités et donc de lui donner la possibilité de nous blesser. Nous ne pouvons jamais savoir à 100% que tout se passera pour le mieux. La seule chose que nous pouvons faire est de décider de nous investir à 100%, de donner son maximum pour créer une belle relation. C’est cette foi en la relation qui nous permet de vraiment nous investir et d’agir pour celle-ci, pour que celle-ci soit belle. C’est lorsque nous avons foi en cette relation que la magie opère.

L’alternative ?

L’alternative est de ne pas s’investir entièrement, mais est-ce vraiment ce que nous voulons ? Pourquoi s’investir à 50%, lorsque nous pouvons donner tout ce que nous avons pour créer quelque de beau ? Cela est vrai non seulement pour nos relations, mais aussi pour nos projets. Ne voudrais-tu pas voir la beauté que tu pourrais créer si tu décidais d’y investir ton âme et de te donner à 100 %, de donner tout ce que tu as ?

Décider de ne pas faire cela, de ne pas viser le divin, c’est rester un potentiel inaccompli. Est-ce que nous voulons vraiment cela ? Est-ce que nous voulons vivre notre vie en étant seulement à moitié dedans ? En étant à 50 % la personne que pourrions être ? N’est-il pas plus beau, sur notre lit de mort de se dire « J’ai vécu à 100% chaque chose que j’ai entreprise, j’ai embrassé l’appel du divin et j’ai donné tout ce que j’avais pour  devenir la personne que j’étais appelé à devenir ».

Je t’invite à prendre ce pari : « Je suis la porte. Si quelqu’un entre par moi, il sera sauvé. » Jean 10:9. C’est un appel à croire, malgré l’absence de preuve.

Risquer d’échouer

Bien sûr, suivre cet appel, décider d’avoir la foi et de donner son maximum implique aussi de prendre le risque d’échouer, de chuter en enfer et d’être blessé (et c’est pour cela que de nombreuses personnes décident de ne pas prendre ce risque). C’est un risque qui vaut le coup, car sinon nous ne vivons jamais notre vie, nous devenons fantômes, et ne ressentons pas d’émotions positives (étant donné que les émotions positives sont ressenties lorsque nous poursuivons un objectif). L’alternative est de faire les choses à moitié avec la pensée constante de notre conscience nous disant « Je pourrais faire mieux que cela ».

Prends le risque d’y croire, d’avoir la foi en ce que tu entreprends sans demander de preuve.

Bien sûr, nous doutons tous de temps en temps et c’est normal. C’est l’apôtre Pierre qui marche sur l’eau et chute, car il prend peur. Heureusement, le Christ le sauve, car nous avons le droit de douter, mais il faut toujours se réorienter.

Christ marche sur l'eau et sauve pierre

Rejeter l’appel du divin

Lorsque nous décidons de ne pas suivre cet appel, ou de le suivre et de le rejeter lorsque les choses se compliquent, nous chutons en enfer (dans les ténèbres). Nous chutons, car notre unité se brise, notre idéal disparait, nos croyances disparaissent. Nous nous retrouvons perdus sans savoir où aller, sans responsabilité. C’est ce qui se passe lorsque St Pierre rejette le Christ après son arrestation.

« Alors Pierre se rappela cette parole que Jésus lui avait dire : « avant que le coq chante deux fois, tu m’aurais renié trois fois. » Et il fondit en larme. » Marc, 14.

le rejet de son ideal

L’unité pour surmonter l’anxiété

Suivre cet appel du divin c’est s’unifier vers un tout, vers un idéal, vers une valeur ultime que nous ne pouvons percevoir clairement. L’esprit de Dieu est un esprit unifiant. Dieu est et sera. C’est ce qu’il répond à Moïse dans l’ancien testament chrétien « Je suis » et Juif « Je serai ». Il est, car il sera toujours présent et nécessaire, mais sera, car nous sommes en constant chemin dans cette direction.

Prendre la direction du chemin ascendant, c’est unifier ses esprits pour ne faire qu’un. Freud dirait que tous les esprits qui sont en nous sont unifiés vers une direction similaire. Les neuroscientifiques diraient que chaque structure cérébrale agit vers un même but. La bible dirait que nous suivons le chemin de Dieu. Les athées qu’ils suivent leur instinct. Finalement, cette unité de l’individu lui permet d’avancer dans la direction voulue.

Le monothéisme

C’est le début du monothéisme. L’unité de toutes les valeurs en un tout, en un même individu. Au lieu d’avoir un individu fragmenté en différents esprits tels que l’esprit de la boisson représenté par le dieu Dionysos par exemple, nous avons décidé qu’il fallait unifier ces esprits pour qu’ils ne fassent qu’un vers un chemin ascendant.

Les esprits

Les esprits sont les voix et les désirs qui parlent en nous, qui viennent nous posséder lorsque nous voulons quelque chose. Nous devons obéir à un esprit. Nous n’avons pas le choix, car nos actions sont guidées par eux. Cependant, en apprenant à nous connaitre, nous apprenons à dompter ces esprits pour les transformer en une unité.

L’esprit ultime nous guidant est l’esprit nous appelant à unifier nos esprits vers un but commun. Nous pouvons rejeter cet esprit unifiant, mais dans ce cas nous obéissons à un esprit fragmenté, mais lequel ? Celui du mensonge ? Du plaisir hédonique ? Du plaisir sexuel ? De la tentation ? Du diable ? Un esprit démoniaque ? De l’honnêteté ? De la vérité ? Ce dernier voudra certainement que l’individu devienne une unité.

C’est ce qui se passe lorsque nous décidons de mentir. Nous sommes divisés et ne sommes pas nous-mêmes. Nous décidons d’obéir à l’esprit de tromperie.

Et toi, quel esprit te contrôle ?

Une question importante à se poser est « Suis-je capable de résister aux esprits de tentations hédoniques quotidiennes qui me font sombrer au long terme ? ». C’est une question difficile, car la réalité est souvent difficile à accepter. Chaque fois que nous succombons, nous renforçons ces esprits. Nous avons tous des actions qui nous font chuter. Pour aller plus loin, je t’invite à lire cet article pour résister aux tentations.

Blake-The-Temptation-and-Fall-of-Eve

Esprit fragmenté, espoir, anxiété, bonheur

Fragmentation

Malgré nos nombreux désirs d’agir et de faire ce qui est juste, nous n’arrivons pas toujours à nous contrôler et à agir comme nous le voulons. Comment est-ce possible ? Après tout, ne sommes-nous pas libres ? Peut-être sommes-nous dépendants de nos esprits. Esprits nous contrôlant jusqu’à un certain point et décidant pour nous ce que nous devons faire.

As-tu déjà ressenti l’esprit de colère ? Tu sais, lorsque tu es énervé, perds tes moyens et n’arrive plus à te contrôler ? Un neuroscientifique tu dirais que ton amygdale inhibe ton cortex préfrontal (rationalité) et que tu deviens donc émotionnel. C’est l’esprit de colère qui a pris le dessus sur les autres en les inhibant.

C’est aussi ce qui se produit lorsque nous procrastinons, car une part de nous voudrait agir alors que l’autre préfère ne rien faire de concret. Une part de nous voudrait escalader la première montagne, alors qu’une autre part de nous voudrait escalader la seconde. Le corps se retrouve donc paralysé, car il ne peut escalader qu’une montagne à la fois, il ne peut poursuivre qu’un seul objectif à la fois.

Peut-être nous ne sommes pas autant maitres de nous-mêmes que nous ne le pensons, si nous ne pouvons même pas décider de ce que nous voulons faire quand nous voulons le faire.

Lorsque nous décidons de ne pas faire quelque chose que nous voulons faire, cela provient aussi d’un conflit interne.

La solution pour être capable d’agir et faire ce que nous voulons faire est donc de réussir à s’unifier pour ne faire qu’un avec soi-même et donc répondre à l’esprit unificateur.

L’espoir

C’est cet esprit unifiant qui nous donne l’espoir. Pour avoir de l’espoir, nous avons besoin d’un idéal qui nous fait rêver. Sans vision, le chaos règne et l’espoir disparait. Quoi de plus triste qu’une vie dans laquelle tout espoir est perdu ? L’espoir est la force animant et guidant nos corps et esprits. C’est la force qui nous permet de nous lever chaque matin et d’agir pour créer et obtenir ce que nous voulons.

Remember Red, hope is a good thing, maybe the best of things, and no good thing ever dies.

L’anxiété

Lorsque l’esprit unifiant est à la fois divisé et absent, nous devenons anxieux, car nous perdons notre structure. L’anxiété est un indicateur de fragmentation des esprits. Nous sommes anxieux lorsque nous perdons notre direction à long terme et notre unité. Dans le même temps, nous perdons notre capacité à agir et à ressentir des émotions positives, étant données quelles proviennent de la poursuite d’un idéal et donc d’un soi unifié. Nous sommes anxieux lorsque nous avons des conflits internes, lorsque nous sommes en conflit avec nous-mêmes. Ces conflits internes peuvent surgir pour diverses raisons. L’une de ces raisons est la multitude de choix. Si nous sommes face à 15 différents montagnes et chemins à emprunter et hésitons, c’est parce que différentes parts de nous veulent emprunter différents chemins.

Être divisé est synonyme de chaos, d’anxiété, d’hypervigilance, de confusion, de paralysie, de peur, et de stress. Lorsque nous sommes anxieux, nous sommes appelés à régler un conflit interne et à nous réunifier vers un but commun.

Les nihilistes et cyniques diront « pourquoi prendre une direction comme la vie n’a pas de sens ». Il faut prendre une direction, car l’alternative est l’anxiété et le stress.

Bonheur

Si nous voulons ressentir le « bonheur », nous devons poursuivre des objectifs en unifiant nos esprits vers un but commun. Avoir notre structure en train de collaborer vers un même objectif permet de ressentir des émotions positives, un sentiment proportionnellement fort à la taille de l’objectif désiré. Ces émotions positives nous indiquent que nous nous trouvons au bon endroit.

Maitriser ses esprits

Nous sommes malléables. L’un des buts de notre vie est d’apprendre à maitriser qui nous sommes et donc d’apprendre à maitriser ces différents esprits. Nous pouvons apprendre à activer et inhiber ces différents esprits selon les différentes situations. C’est comme si nous avions une équipe entière servant un but commun, que nous étions capables de sauter d’une montagne à une autre en un instant étant capable de passer d’un certain soi à un autre que nous venons de reconstruire sur mesure comme si nous utilisions notre part de divin permettant la transformation de chaos en ordre. C’est réaliser que nous sommes un tout.

S’unifier grâce à la science et la religion

Alors que la science vise à expliquer le monde, la religion essaie d’expliquer comment nous comporter dans ce monde. Apprendre la science et la religion m’a permis de me rendre compte d’un grand nombre de similarités. J’en parlerai dans un article complet. Ici, je vais mentionner quelques principes.

La religion pour surmonter l’anxiété

800px-Dove_Sent_Forth_from_the_Ark

Voici quelques principes :

L’esprit nous appelant

  • Écouter l’esprit nous appelant à vivre l’aventure de notre vie. C’est ce que fait Abraham lorsqu’il part pour devenir le père des nations.
  • Écouter l’esprit nous appelant à nous préparer au chaos venant. C’est ce que fait Noé lorsqu’il construit une arche pour survivre l’inondation.
  • Écouter l’esprit nous invitant à quitter nos propres tyrannies pour devenir libres de servir son idéal. C’est ce que fait Moïse lorsqu’il libère le peuple d’Israël de l’esclavage du tyran pharaon.
  • Écouter l’esprit nous indiquant que notre sacrifice, que ce que nous faisons chaque jour n’est pas suffisant pour atteindre ce que nous poursuivons. C’est ce que ne fait pas Caïn, car il décide de tuer son idéal, son frère et va souffrir à cause de cela.
  • Écouter l’esprit lorsqu’il arrive et le suivre. C’est ce que font les disciples du christ lorsqu’ils arrêtent tout pour le suivre et porter leur croix. La voix est arrivée et ils décident de la suivre.

Ce comporter avec celui ci

  • Ne pas rejeter l’appel de l’esprit. L’apôtre Pierre le rejette lorsque le christ est arrêté et que le coq chante 3 fois. Il va perdre son unité et sombrer dans le déni et une tristesse profonde.
  • Subdiviser l’appel de l’idéal en étapes pouvant être accomplies une marche à la fois. C’est ce que fait Jacob lorsque l’échelle descend du ciel, un barreau à la fois.
  • C’est lutter avec Dieu pour apprendre à le connaitre et à le comprendre. C’est ce que fait Jacob lorsqu’il lutte avec l’ange.
  • C’est négocier avec son idéal. C’est ce que font Abraham, Joseph, Jacob, Noé, Moïse. Nous avons le droit de négocier et de discuter.
  • Écouter l’esprit nous appelant à avoir la foi sans demander de preuve. C’est le christ résistant aux tentations du diable et invitant st Pierre à marcher sur l’eau. C’est avoir la foi en la promesse de Dieu « If you will follow me, you will be my treasure possession”. (Exodus 19: 1:5) . Nous ne sommes jamais libres. D’esclave au désert pour servir Dieu, pour servir l’esprit. L’alternative est le désert ou l’esclavage en Égypte.
  • Trier le bon grain de l’ivraie : Témoignage : 1 pratique qui a changé mon doctorat.

La science pour surmonter l’anxiété

La science nous indique que nous pour agir, nous devons unifier nos régions cérébrales vers un but commun. Chaque région joue un rôle important. Ici, j’aimerais en mentionner 4 qui sont impliquées dans la planification et la réalisation de nos objectifs.

Ces différentes structures vont mesurer la valeur et le danger de l’objectif et décider, selon notre énergie actuelle, si nous avons la capacité de l’atteindre. C’est pour cela qu’il faut prendre le temps de clarifier et de déterminer la valeur de nos objectifs. Plus la valeur de celui-ci est grande, plus nous serons prêts à agir pour l’atteindre.

Nos structures vont aussi déterminer quelles actions nous devons faire ou ne pas faire à un moment donné pour atteindre un objectif en pesant le pour et le contre de chaque comportement que nous pourrions entreprendre. L’anxiété provient aussi d’une indécision, d’une incapacité à décider quel chemin emprunter, quelle action prioriser. Nous voulons ces structures comme alliées pour pouvoir accomplir et atteindre nos objectifs.

Conclusion pour surmonter l’anxiété

Et toi, comment fais-tu pour surmonter l’anxiété ? Lorsque tu es anxieux, penses-tu que cette anxiété provient d’un manque d’unité ?

Je t’invite aussi à me suivre pour recevoir d’autres articles et vidéos sur la thèse :

Et n’oublie pas, nous sommes de vaillants doctorants prêts à se donner les moyens de réussir notre thèse !

À cœur vaillant, rien d’impossible !

Cyprien

Si tu as aimé l'article, tu es libre de le partager ! :)

Donne moi ton avis en commentaires !

    Laisser un commentaire

    Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *