Comment apprendre l’anglais ?
J’ai toujours cru que je parlerais toujours anglais comme ça :
Cependant, j’ai réussi à passer de 5/20 en anglais LV2 au BAC à capable de vivre à l’étranger, de parler couramment en anglais et de rédiger des articles scientifiques en anglais depuis plus de 5 ans. Dans cet article, je vais t’expliquer comment j’ai fait et comment tu peux aussi y arriver.
Mon histoire
J’ai toujours pensé être naturellement mauvais en anglais.
A l’école, je ne retenais jamais les mots de vocabulaire anglais.
Je pensais que c’était une fatalité, que c’était génétique et que ce n’était pas possible pour moi.
Je trouvais des excuses : les profs d’anglais sont mauvais, les Français sont naturellement mauvais en langues, l’anglais ne sert à rien.
Cependant, par nécessité, j’ai du faire ce qui me semblait impossible : apprendre à parler anglais.
Nous savons tous qu’impossible n’est pas français.
J’ai dû faire preuve de discipline et pratique énormément et régulièrement, mays j’y suis arrivé.
Lors de ce parcours j’ai recontré de nombreuses peurs : peur de parler en anglais, peur d’être jugé, peur révéler mon niveau médiocre.
J’ai du apprendre à les surmonter. Ce qui n’a pas toujours été facile.
J’ai dû surmonter ma peur de parler et d’être jugé.
J’ai aussi dû changer certaines habitudes.
Avec du recul, tout cela valait la peine.
Donc si tu as aussi l’impression qu’apprendre cette langue est impossible et que ce n’est pas fait pour toi ; fais-moi confiance, je suis passé par là.
Apprendre une langue est possible si on applique les bons outils.
Tu as de la chance, j’ai essayé énormément d’outils. Comme j’étais étudiant, je cherchais un maximum d’outils gratuits et facilement accessibles.
Dans cet article, je vais partager avec toi 3 outils indispensables pour apprendre l’anglais qui m’ont permis de passer de 05/20 au BAC à capable de vivre à l’étranger, de rédiger chaque jour des articles scientifiques et de donner des présentations orales à des congrès internationaux.
De plus, à la fin de l’article, je vais te partager comment j’ai surmonté ma peur de communiquer à l’oral en anglais et ce qui m’a motivé à faire ce voyage dans le mo;e anglophone.
Si tu suis et appliques cette vidéo, tu deviendras compétent en anglais.
J’ai donc commencé en faisant ce qui va suivre.
Pratiquer chaque jour
Comme mon niveau d’anglais était déplorable, j’ai décidé de tout reprendre de zéro et de pratiquer mon anglais chaque jour.
Je savais que pratiquer chaque jour fonctionne bien mieux que 1 fois par semaine.
Pour progresser sur le long terme, il vaut mieux pratiquer un petit peu chaque jour et vraiment intégrer la pratique de l’anglais dans sa vie.
J’ai donc pris un cahier et noté chaque jour pour lequel je faisais de l’anglais. Je ne voulais pas briser la série.
Je voulais progresser le plus vite possible et savais que chaque jour comptait.
J’ai donc développé ma discipline.
Pendant des jours, des mois et des années, j’ai pratiqué régulièrement mon anglais.
Qu’ai-je fait chaque jour ?
Vocabulaire
Je savais que je devais développer mon vocabulaire, j’ai donc acheté un petit livre avec du vocabulaire à lire chaque jour.
C’est sympa, mais pas très utile, car je n’apprenais pas la prononciation et Dieu sait que pour être compris en anglais, une bonne prononciation est cruciale.
Fais vraiment attention à la prononciation des mots.
J’ai donc décidé d’utiliser des applications mobiles.
Après en avoir testé énormément, une seule s’est avérée être extrêmement efficace : Mosalingua.
Je l’ai utilisé tous les jours pendant de nombreux mois, ce qui m’a permis d’apprendre plus de 3000 mots grâce à sa méthode de répétition espacée, et de répétition active.
Elle est parfaite pour apprendre, car elle donne envie de continuer à apprendre de nouveaux mots, tout en nous forçant à réviser les anciens.
Apprendre du vocabulaire ne suffisait pas, j’ai donc rapidement décidé d’ajouter quelque chose à ma routine.
Livre pour apprendre
J’ai emprunté et appliqué énormément de livres : « Atteindre le niveau B2-C1 en 1 mois ».
Cependant, la plupart m’ont fait perdre mon temps.
Le seul qui sortait du lot et qui m’a fait énormément progresser en anglais : « Assimil 110 leçons pour atteindre le niveau B2 ».
Ce livre est le livre idéal pour chaque personne voulant apprendre l’anglais, progresser chaque jour et à petits pas.
Il offre 1 leçon par jour, du vocabulaire, de la grammaire, de l’écoute, de la lecture, de la rédaction, de la prononciation.
Il requiert une bonne discipline.
Ce livre m’a donné des bases solides tout en me faisant passer un bon moment.
Pour pousser la méthode plus loin, je notais chaque mot et chaque phrase de vocabulaire sur des papiers : français d’un côté et anglais de l’autre.
J’avais des centaines de mots de vocabulaire en poche et je les lisais dans le métro, au boulot, à Picard, en faisant les courses.
Je faisais de l’anglais constamment.
J’intégrais la pratique de l’anglais dans ma vie.
Je pratiquais chaque jour.
Cependant, ce n’est pas suffisant. Il y a une seconde chose que j’ai dû appliquer pour vraiment progresser en anglais.
Transformer ma vie en anglais
J’ai intégré l’anglais dans ma vie.
Je m’y exposais constamment, pour chaque chose que je faisais.
Mon environnement était devenu anglophone.
Voici ce que j’ai fait :
- J’ai mis mon téléphone et ordinateur en anglais.
- J’achetais des livres en anglais. J’ai commencé par la bande dessinée Calvin et Hobbes, lu « the compound effect » en livre de développement personnel. On m’avait dit que Harry Potter est sympa à lire en anglais, mais je n’ai pas accroché. Si tu veux lire en anglais, je t’inviterai à lire « 12 rules for life » de Jordan Peterson.
- Je regardais des films en VOSTFR, puis en VOSTEN. J’ai commencé par la série Breaking Bad.
- J’écoutais des lectures, des cours et des podcasts en anglais. J’ai commencé par la chaine YouTube de Jordan Peterson sur ‘Personality, maps of meanings, bible’. L’intérêt d’écouter une personne encore et encore est que l’on s’habitue à sa façon de parler et comprendre son discours devient de plus en plus facile.
- Je pensais et nommais ce que je voyais autour de moi en anglais. Mon cerveau se programmait lentement mais surement à penser en anglais en le rendant réel.
- J’ai rejoint un site web ‘Interpal’ dans lequel on peut discuter avec des personnes du monde entier. J’y ai rencontré de nombreuses personnes avec qui j’ai discuté et gardé le contact pendant longtemps. Cela m’a permis de bien progresser en compréhension et rédaction.
- J’ai rejoint des communautés dans lesquelles les gens parlaient anglais.
- Je suis allé à un speed anglais, dans lequel je devais parler avec une personne différente chaque 5 minutes. Je suis aussi allé à des évènements organisant des jeux de société en anglais.
- J’ai demandé à une amie (très confiante et compétente en anglais) de prendre le temps de me parler anglais.
- J’ai dû mettre mon égo de côté pour lui demander et cela m’a demandé énormément d’effort.
- Pendant plusieurs mois, elle me donnait des cours d’anglais, 2-3h par semaine, c’était génial, on ne faisait que parler et je me sentais de plus en plus à mon aise.
- Cependant, je devenais confortable à parler avec elle, mais pas avec d’autres personnes.
- J’ai rejoint le parcours bilingue de mon université, parcours offrant des cours en anglais avec des examens et rapports à rédiger en anglais.
- J’ai beaucoup hésité à postuler, car je craignais de ne pas être prêt et de ne pas y arriver.
- J’en profite pour remercier Clément, mon cousin, pour m’avoir incité à postuler, car c’est l’une des meilleures décisions que j’ai prises (autant sur le plan personnel que professionnel).
- Je me souviendrais toujours de mon premier cours en anglais, quand Prof. Pourtier a commencé à nous enseigner en anglais pendant un cours d’embryologie.
- J’étais paniqué, je voyais la personne à côté de moi, paisible en train de suivre comme si tout était normal, alors que dans ma tête, c’était le chaos.
- Finalement ça s’est bien passé. Suivre les cours et apprendre en anglais, me demandait un effort supplémentaire, mais ce n’était pas la fin du monde.
- J’ai dû passer le TOEFL pour pouvoir faire mon ERASMUS.
- Test d’anglais coutant plus de 200 euros et mesurant tes compétences de listening, reading, writing et speaking.
- Je devais obtenir le score de 94/120 (niveau C1).
- Ce score me semblait impossible à atteindre.
- J’avais comme un mur énorme en face de moi, ma conscience me ramenait à mes propres limitations et me faisait comprendre que je n’avais pas le niveau. Je me suis retrouvé paralysé pendant quelques minutes.
- Je me suis retrouvé face à plusieurs situations : abandonner, trouver un autre ERASMUS demandant un niveau d’anglais pas aussi élevé (par exemple les USA ne demandaient que 60/120, va savoir pourquoi), relever le défi impossible d’obtenir le score de 94/120 au TOEFL.
- Alors que je pensais déjà être au maximum, je suis allé à la BU de Lille et j’ai pris tous leurs livres sur le TOELF et de nombreux TOELF blanc. Puis j’ai bossé, jour après jour et soir après soir, en plus de mes études.
- J’ai rédigé énormément de TOEFL blancs, et j’ai demandé à des amis, à des professeurs s’ils pouvaient me corriger. J’avais aussi rejoint un site web dans lequel des inconnus lisaient mes textes et me les corrigeaient. Merci à tous ceux qui ont pris le temps de m’aider dans ce processus. J’ai aussi regardé des chaines de professeurs anglophones qui enseignaient comment bien rédiger pour le TOEFL, j’y ai appris énormément de tournures de phrases, etc.
- Quand j’y repense, je devais facilement passer 3h par soir à étudier pour le TOEFL. Je savais que c’était la seule façon de pouvoir atteindre le niveau nécessaire.
- Si cela t’intéresse, je te raconterai ce qui s’est passé avec le TOEFL et mon ERASMUS. Sache que j’ai passé 2 fois le TOEFL et que je n’ai finalement pas fait mon ERAMUS à Utrecht, Pays-Bas comme prévus, mais à Munich en Allemagne.
Que fais-tu pour intégrer la pratique de l’anglais dans ta vie ?
Cependant, faire toutes ces choses n’était pas suffisant. Il y a une troisième chose que j’ai finalement mise en place, qui a tout changé et que j’aurai dû faire dès le début.
Me confronter au réel et à mes propres limitations
Comme je te l’ai dit précédemment, mon niveau d’anglais était déplorable.
Je n’osais pas parler.
J’étais comme paralysé lorsque je devais parler.
J’avais peur d’être jugé, de ne pas savoir, de mal dire.
Il m’a fallu énormément de temps pour enfin réellement me débloquer.
Finalement c’est le besoin et la nécessité qui m’ont débloqué.
C’est le besoin de progresser en rédaction pour le TOEFL et la peur de ne pas y arriver qui m’a fait oser montrer mes écrits à d’autres personnes pour recevoir du feedback de leurs parts et progresser.
C’est ma présence à l’étranger pendant mon ERASMUS à Munich, mon Master et ma thèse à Groningen (Pays-Bas) et mes projets de recherche en Australie et Nouvelle-Zélande qui m’ont forcé à parler en anglais.
- À Munich, je ne comprenais rien à ce que mon collègue british me disait.
- Pendant mon master, en disant à une collègue que je me suis fait voler mon scooter, elle m’a répondu « ah super ça », en lui faisant remarquer que ce n’était pas super, elle m’a avoué ne pas avoir bien compris ce que je lui avais dit.
Je suis devenu de plus en plus à l’aise avec le temps et la pratique. La gêne et la peur d’origines sont parties lentement mais surement.
Aujourd’hui, j’ai toujours un accent français, qui ne me dérange pas au quotidien (sauf pour dire le chiffre trois). De plus il plait bien donc pourquoi le perdre. Je suis capable de tenir n’importe quelle conversation, je lis et rédige quotidiennement des articles scientifiques et donne des présentations orales dans des congrès internationaux.
J’aurais pu commencer à vraiment parler bien plus tôt, et je t’invite à le faire, mais quelque chose me bloquait.
À l’époque, je ne savais pas vraiment quoi, aujourd’hui je comprends mieux.
J’avais ce que certaines personnes appellent le syndrome de l’imposteur.
Le syndrome de l’imposteur : un problème à surmonter
Une voix dans ma tête me répétait constamment que je n’avais pas le niveau (ce qui était vrai) et que j’étais sensé déjà être bon.
J’avais l’impression d’être en retard sur les autres, car je pensais que les autres savaient déjà parler anglais et avaient un super niveau (ce qui était faux pour la plupart des gens).
Entre autres, j’avais l’impression de ne pas être à ma place.
Avec du recul, je me rends aussi compte que beaucoup de personnes de ce groupe n’étaient pas bilingues et rencontraient les mêmes problèmes que moi.
Cette voix qui paralyse
Cette voix me paralysait, me faisait peur. Elle me contrôlait et m’empêchait de parler en anglais.
Cette voix voulait mon bien mais ne se rendait pas compte qu’elle me pesait. Elle voulait que je ne révèle pas mon ignorance, par peur du jugement d’autrui, par peur d’être rejeté.
Je portais une cape, un déguisement, et je jouais un rôle pour essayer de cacher mon ignorance et mes limitations.
Mon cerveau a décidé qu’il valait mieux ne pas montrer que j’étais mauvais et donc qu’il valait mieux ne pas parler.
C’est contre-productif.
C’est une stratégie d’évitement employée par notre amygdale. L’amygdale (région cérébrale impliquée dans les émotions et la peur) nous fait éviter de faire des actions qu’elle considère comme dangereuses.
Pour que notre amygdale devienne notre allié, nous devons clarifier dans notre esprit pourquoi la conséquence de ne pas parler anglais est pire que celle de parler anglais.
Une fois notre vision claire, notre amygdale nous poussera à parler anglais.
Mon amie voulant apprendre le français a le même problème. Elle se retrouve bloquée lorsque je veux lui parler en français. Elle me dit que son cerveau se bloque et répète : ‘je suis, j’ai’, mais qu’aucun autre mot ne vient.
Nous renforçons ce que nous pratiquons. Je suis donc devenu très bon à ne pas communiquer en anglais et à essayer de le cacher.
Ce n’est pas une bonne stratégie.
Cela a freiné énormément ma progression.
N’entre pas dans ce cercle vicieux.
Révèle ton ignorance pour t’ouvrir à la possibilité de transformation.
Règle tes conflits internes et ose révéler tes limitations.
Laisse-toi porter vers le haut par ceux qui ont un meilleur niveau que toi.
Les personnes compétentes ne jugent pas. Elles nous poussent à nous dépasser et nous transformer en prenant le temps de nous aider.
Vouloir cacher son niveau nous fait devenir menteur, car personne n’est dupe.
Tout le monde savait que mon niveau d’anglais était faible. Ce qui en est n’est pas un problème. C’est peut-être même une chance, si elle est saisie comme une opportunité de progresser et d’apprendre des autres.
Les solutions
- J’ai commencé à me débloquer lorsque j’ai compris que personne n’attendait de moi d’être parfait et que personne ne pensait que j’étais parfait.
Comme l’a si bien dit Sénèque : « Nous souffrons plus de notre imagination que de la réalité ».
- Le but d’une langue : communiquer
Ensuite, je me suis rappelé que le but primaire d’apprendre une langue est de pouvoir communiquer avec autrui. Faire l’effort conscient de bien articuler, et de s’exprimer lentement pour pouvoir partager une idée m’a beaucoup aidé à oser parler.
Commence à parler dès maintenant. Parle avec pour objectif de partager une idée. Décide volontairement de te confronter à l’anglais.
- Pratique régulièrement avec d’autres personnes
Devenir confortable en anglais prend du temps et passe forcément par la pratique régulière de la langue.
Apprendre une langue ne peut se faire seul, car le but d’une langue est de communiquer.
Tu as besoin des autres pour progresser et pour communiquer sinon apprendre la langue est inutile.
Cela nous renvoie à nos propres limitations et nous permet de nous transformer.
Tout seul, il est presque impossible de savoir où sont nos erreurs.
- Dire la vérité et surtout ne pas mentir est aussi une étape essentielle.
Accepter d’être nouveau et de ne pas savoir aujourd’hui, à la place de le cacher (imposteur et menteur) et décider de le dire (honorable), permet de n’être ignorant qu’une fois.
- Il est aussi important d’incarner le rôle d’apprenti et de débutant.
Pour être grand, il faut avoir été petit (chanson de Guillaume). Ai foi en ta possibilité de transformation.
- Faire face.
La seule façon de progresser est de faire face régulièrement à ce qui nous fait peur.
Chaque fois que nous fuyons, nous laissons le dragon grandir.
Il devient donc de plus en plus difficile de faire face.
Donc agis et commence à parler dès aujourd’hui.
Fais-en une pratique quotidienne.
Fais face chaque jour à cette peur jusqu’à ce que cela devienne facile.
Cependant, faire tout cela n’aurait pas été possible si je n’avais pas eu l’appel du divin.
Le déclic ou l’appel du divin
L’élément déclencheur m’ayant donné l’envie d’apprendre l’anglais est l’appel du divin, ou déclic.
Lors de ma seconde, première année de licence, en avril, pendant un cours de génétique parlant de notre personnalité et QI sont majoritairement hérités ; je pensais, je pensais à ce que je voulais faire de ma vie, comme beaucoup de personnes, j’étais perdu, je ne savais pas trop ce que je faisais là.
Cela faisait quelques semaines que j’y réfléchissais, qu’est-ce que je faisais là ? Pourquoi faire cette licence ?
J’avais l’impression que je devais trouver une direction, ma conscience m’appelait à trouver un chemin à prendre, avec un peu de chance, je trouverai un chemin ascendant à emprunter.
C’est la première fois de ma vie que je me posais la question.
J’étais dans le brouillard. Cependant, lors de ce cours de génétique, un rayon de soleil a percé les nuages, j’y voyais plus clair.
Ma question « Quelle direction prendre » avait obtenu une réponse.
Le verset : « Demandez et vous recevrez, cherchez et vous trouverez, frappez et l’on vous ouvrira la porte » prenait tout son sens. En me posant la question avec honnêteté, humilité et désir de réponse, j’ai ouvert en moi la possibilité de recevoir l’appel du divin, de recevoir une réponse.
J’avais compris que je voulais comprendre le fonctionnement du cerveau et plus particulièrement comprendre la résilience et vulnérabilité au stress. J’avais trouvé un idéal à atteindre, mon futur, moi pour qui je pouvais sacrifier le présent ; un désir incandescent brulait en moi et j’avais un sentiment d’excitation que rien ne pouvait m’arrêter.
Cependant, le monde de la recherche est majoritairement anglophone. J’ai compris qu’il fallait que je développe un profil unique. Pour cela, je devais faire un ERASMUS et donc apprendre l’anglais.
Je décidais de répondre à cet appel du divin et pour la première fois de ma vie de m’investir corps et âme à un projet.
J’avais un objectif et un besoin : apprendre l’anglais.
Je ne le savais pas encore, mais c’est comme cela que je cortex frontal fonctionne. Il fonctionne au besoin. Si tu as un besoin, il va autoriser ton cerveau et ton corps à se mettre en marche pour y arriver.
Et toi, pourquoi veux-tu apprendre l’anglais ? Quelle est la raison qui te transcende et pourquoi apprendre l’anglais est un besoin ?
Mon esprit et mon corps maintenant en marche, je devais comprendre comment apprendre l’anglais, car mon niveau d’anglais, comme je te l’ai dit plus tôt, était déplorable.
Conclusion
Trouve un besoin, intègre l’anglais dans ta vie, révèle au monde que tu désires progresser et pratique chaque jour.
Je t’invite aussi à me suivre pour recevoir d’autres articles et vidéos sur la thèse :
- Sur la chaîne YouTube
- La chaîne Telegram
- Rejoindre le groupe privé Facebook
- Le cercle de la thèse rédigée
Et n’oublie pas, nous sommes de vaillants doctorants prêts à se donner les moyens de réussir notre thèse !
À cœur vaillant, rien d’impossible !
Cyprien
Donne moi ton avis en commentaires !