Louis Pasteur (1822-1895), French chemist and microbiologist. Ca. 1870.

Que ferais-tu de similaire pendant ton doctorat ? J’ai posé cette question à plusieurs doctorants et professeurs pour savoir s’il y a certaines actions qu’ils feraient de nouveau pendant le doctorat. Leurs réponses peuvent se diviser en trois points majeurs : travailler de la même façon, définie des objectifs et actions à entreprendre et garder le même projet et groupe de recherche.

Travailler de la même façon

  • Je garderais ma foi en l’apprentissage et la compétence, en ma capacité à développer les compétences requises pour y arriver tout en saisissant de nombreuses opportunités.
  • Je travaillerai dur de la même façon. Je choisirais un bon équilibre pour chaque action et je garderais la foi dans ce que je fais. De plus je ne serais pas trop impacté par les résultats négatifs.
  • J’approcherais mon doctorat de la même façon. Je garderais beaucoup de temps libre pour pouvoir continuer à m’épanouir. Je ne travaillerais pas trop d’heures. Je resterais le maitre de mon doctorat. L’architecte de mon doctorat décidant ce que je pense est juste à faire ou non, tout en restant à l’écoute.
  • Je garderais le même rythme de travail. Je travaille dur et suis proactive en ce moment et je pense que c’est comme cela que je vais réaliser mes objectifs. Je suis résiliente et prête à travailler dur pour faire ce qui me semble juste.
Louis Pasteur (1822-1895), French chemist and microbiologist. Ca. 1870.

Louis Pasteur (1822-1895)

La science et la passion de comprendre sont-elles autre chose que l’effet de l’aiguillon du savoir qui met en notre âme le mystère de l’Univers ?

Définir mes objectifs et actions à entreprendre

  • Je referais un doctorat, car c’est aligné avec mes objectifs à long terme et donc ça vaut la peine d’en faire un. Lorsque j’ai commencé mon doctorat, je savais déjà pourquoi je voulais en faire un, cela m’a donc aidé énormément à me donner à fond sur mon doctorat, car j’avais une destination en tête et le doctorat était sur le chemin, c’était une étape à accomplir.
  • Je participerais à autant d’événements que possible. Lorsque j’ai commencé mon doctorat, j’ai rejoint tous les événements organisés par les doctorants pour apprendre à bien connaitre tout le monde. C’est crucial pour se faire un réseau et rester en bonne santé. Un doctorat peut être très solitaire. Passer du temps avec d’autres doctorants vivant les mêmes choses que toi aide à surmonter cette solitude intégrée au doctorat.
  • Je referais toutes les étapes d’un projet, de l’organisation du projet à la rédaction et publication de l’article en passant par les expériences et les analyses de data. Cela permet d’apprendre à tout faire, ce qui est important pour pouvoir espérer déléguer un jour.

Même projet et groupe de recherche

  • Si je pouvais refaire mon doctorat, je referais un doctorat incluant expériences précliniques et cliniques. Cela m’a permis de faire un projet qui se complète bien et qui est bien intégré.
  • Je ferais mon doctorat dans le même groupe de recherche avec le même superviseur et sur le même sujet (3 doctorants ont dit cela).
  • Si je pouvais refaire mon doctorat, je viendrais dans le même pays (Pays-Bas) et j’organiserais mon temps de la même façon. Je pense que changer de pays pour son doctorat est une expérience incroyable qui permet de murir bien plus vite que si tu restais au même endroit.

 

Et toi, que ferais tu de similaire ?

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