Lorsque je fais de la recherche, il est essentiel que j’y prenne du plaisir. Je suis guidé par mon instinct, explorant ce qui m’inspire tout en gardant en tête l’impact que mes travaux pourraient avoir. Cependant, il est tout aussi important pour moi de maintenir l’équilibre de vie auquel je tiens. J’ai besoin de pratiquer du sport régulièrement, de profiter de ma famille et de ma compagne, de découvrir de nouvelles expériences, et je refuse que ma recherche m’empêche de vivre cela. À mon sens, ce serait contre-productif.
Durant ma thèse, j’ai réussi à atteindre cet équilibre. En trois ans — contre plus de quatre ans pour la plupart des doctorants — j’ai terminé ma thèse. J’ai publié plus de cinq articles scientifiques en tant que premier auteur, et un en tant que dernier auteur. J’ai organisé un symposium, participé à plusieurs conférences, et j’ai même passé quatre mois en Nouvelle-Zélande lors de ma dernière année. Tout cela sans compromettre mes étés, que j’ai pu passer avec mes proches en travaillant peu. Ce cheminement m’a permis de m’épanouir, aussi bien sur le plan personnel que professionnel.
Je nourris ce rêve : que chaque doctorant puisse vivre une aventure de thèse épanouissante. Je veux aider les doctorants à trouver cet équilibre, en accord avec leurs aspirations personnelles et professionnelles.
Voici comment j’ai réussi à préserver cet équilibre tout au long de ma thèse :
- Optimisation du temps de travail : J’ai appris à travailler plus efficacement, réduisant ainsi la durée de mes journées. Travailler plus longtemps peut s’avérer contre-productif, alors je préfère des journées courtes, mais productives, me permettant de me consacrer à d’autres aspects de ma vie.
- Optimisations continues : J’améliore constamment mes processus de recherche et délègue tout ce qui peut l’être. Récemment, j’ai intégré l’intelligence artificielle dans mes méthodes pour maximiser l’efficacité de mes tâches.
- Demander pour recevoir : Je n’hésite pas à poser des questions et à solliciter de l’aide. Cela m’a permis de progresser plus rapidement et de surmonter certains obstacles plus facilement.
- Anticipation et priorisation : J’avais toujours un objectif clair en tête. Je savais quelles actions devaient être menées chaque jour, semaine, mois et année pour y parvenir, et je faisais le tri entre l’essentiel et le superflu.
- Simplicité avant tout : Comme le disait Léonard de Vinci, “La simplicité est la sophistication suprême”. J’applique ce principe à tous les aspects de mon travail, de la prise de notes à la rédaction, en passant par la planification de mon temps.
Aujourd’hui, en tant que postdoctorant, j’ai décidé de partager davantage mon parcours, mes défis, mes apprentissages et mes stratégies. C’est pourquoi j’ai décidé de partage ce que j’ai appris pendant ma thèse et ce que j’apprends encore aujourd’hui dans mon postdoctorat sur ma chaine YouTube et mon canal Telegram. J’y expose mes défis actuels et l’avancée de mes projets.
Rejoignez le cercle des doctorants pour recevoir mes prochains contenus et articles directement dans votre boîte mail. À très bientôt pour de nouvelles découvertes !
Je t’invite à me suivre pour recevoir d’autres articles et vidéos sur la thèse :
Et n’oublie pas, nous sommes de vaillants doctorants prêts à se donner les moyens de réussir notre thèse !
Donne moi ton avis en commentaires !