Est-ce que l’on t’a déjà conseillé de te donner de « fausse date butoir » avant laquelle tu vas te donner l’objectif de compléter une certaine action qui peut être de rédiger une page, de planifier un projet, d’analyser des data ou autres.

​​Peu importe, tu vois de quoi je parle.

Je ne sais pas pour toi, mais ça n’a jamais fonctionné pour moi.

​​On ne peut se mentir à soi même, ça ne fonctionne pas.

​​Ton cerveau sait que ce n’est pas une vraie deadline et ne va donc pas te donner le sentiment d’urgence recherché en se donnant cette deadline (voir Parkinson Law dans cet article).

Ton cerveau ne va pas sécréter d’adrénaline, et de dopamine et donc ne va pas te donner d’énergie et de motivation.

​​Même si tu décides d’informer tes collègues et superviseurs de cette deadline, elle reste non réelle.

Si je veux utiliser le pouvoir des deadlines, je dois planifier quelque chose juste après la deadline comme quelques jours de vacances, un weekend quelque part, une compétition​ d’escrime, une soirée avec des amis, une sortie cinéma, peu importe.

La deadline devient donc réelle, car j’ai un projet après qui m’empêche de remettre l’action à plus tard.​​

​​Le fait de savoir que j’ai d’autres choses à faire en fin de journée, pour le weekend, ou le mois à venir va me donner ce sentiment d’urgence et ce désir de faire avancer les choses.

​​C’est comme cela que je fonctionne. Mon cerveau a besoin d’avoir une vraie deadline, pas quelque chose de fictif que j’ai invité.

Si tu as aimé l'article, tu es libre de le partager ! :)

Donne moi ton avis en commentaires !

    Laisser un commentaire

    Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *